Disturbing or Violent Content

Nos Règles communautaires interdisent les images graphiques ou de violence gratuite à l’égard des humains ou des animaux. La Charte de contenus interdisent les représentations graphiques ou gratuites non seulement de la violence, mais aussi des maladies graves, des blessures ou de la mort. Nos Règles communautaires n’interdisent pas les contenus décrivant des procédures médicales ou cosmétiques (par exemple, l’élimination de boutons, le nettoyage des oreilles, la liposuccion, etc.), mais ces contenus ne peuvent être recommandés s’ils présentent des images graphiques. Dans ce contexte, le terme « graphique » désigne des images réelles de fluides ou de déchets corporels, tels que le pus, le sang, l’urine, les excréments, la bile, l’infection, la décomposition. Nous refusons l’amplification des images du corps humains intentionnellement et viscéralement perturbantes, telles que des objets tranchants près de la peau ou des yeux, ou la vermine près de la bouche. Bien que nos Règles communautaires interdisent les contenus montrant des mauvais traitements infligés aux animaux, La Charte de contenus interdisent également les images montrant de graves souffrances animales (par exemple, plaies ouvertes, émaciation, parties du corps brisées ou mutilées) ou la mort.

Nos Règles communautaires interdisent d’exprimer un soutien à la violence ou d’encourager la violence à l’encontre de qui que ce soit. La Charte de contenus vont plus loin et interdisent même le soutien ambigu ou l’approbation tacite de la violence.

Nos Règles communautaires interdisent la promotion de l’automutilation, du suicide ou des troubles de l’alimentation. Cette Charte de contenus vont plus loin en interdisant l’amplification des contenus extrêmes (par exemple, dire en plaisantant « Supprime ton compte et suicide-toi » ou tout contenu « thinspo » ou « pro-anorexie »).

Est interdit par nos Règles communautaires. La présente Charte de contenus n'autorisent pas l'amplification de contenus qui décrivent des activités dangereuses réalisées par des non-professionnels, telles que des cascades ou des « défis » susceptibles d’entraîner des blessures, des maladies, la mort, des préjudices ou des dommages matériels.

D'incidents choquants. Nos Règles communautaires n’interdisent pas les contenus relatifs à des incidents troublants, mais ces règles refusent d’amplifier les contenus qui se concentrent sur des crimes violents ou sexuels qui ne sont pas dignes d’intérêt médiatique ou sur des crimes qui impliquent des mineurs. Pour qu’un contenu soit considéré comme « digne d’intérêt médiatique », il doit être d’actualité et concerner une personne, un groupe ou une question d’intérêt public de premier plan.

Dans le contexte de l'actualité nationale, de l'éducation ou du débat public, où il n'existe pas d'images graphiques de mort ou de mutilation. Les incidents troublants, tels que les crimes sexuels ou violent, peuvent être dignes d’intérêt médiatique lorsqu’ils sont d’actualité et qu’ils impliquent une personne, un groupe ou une question d’intérêt public de premier plan

Y compris les troubles de l'alimentation.

Procedures, medical settings or equipment. This includes preserved body organs in educational or newsworthy contexts.

Lorsque la peau n'est pas abîmée.

Telles que les aiguilles de tatouage sur la peau ou les piercings en cours de réalisation.

Sans images graphiques de mort ou de sang.

Tels que les araignées, les insectes ou les serpents.

Images fictives, mais réalistes et potentiellement choquantes. Il s’agit notamment de la violence dans des contextes de divertissement (par exemple, dans un film, un jeu vidéo ou un sketch comique). Cela inclut également le contenu sur le thème de l'horreur (par exemple, le maquillage, d'effets spéciaux, les costumes, les accessoires). Cela comprend aussi des images destinées à provoquer une réaction viscérale (par exemple, des objets poreux pour déclencher la trypophobie, la colle pour simuler la peau qui pèle ou des graines pour simuler des tiques).

Lorsqu'elle n'est pas dirigée contre un individu, qu'elle ne dénigre pas un groupe et qu'elle ne se situe pas dans un contexte sexuellement explicite. Cela s’applique aux jurons couramment utilisés pour exprimer une frustration générale (par exemple, « m**** et p***** »).